Éditeur.rice.s extérieur.e.s, maisons d’édition, graphistes, relecteur.rice.s : mettons en commun nos contacts pour que chaque projet trouve ses prestataires.
Éditrices, éditeurs, rédactrices et rédacteurs free-lance : contactons-nous
Pour mieux répartir les projets selon les compétences, les goûts, les plannings de chacun, faisons-nous connaître auprès des uns et des autres et développons notre réseau.
Faisons connaissance, partageons nos expériences, discutons de nos problématiques : contactez-moi ! L’un.e d’entre vous travaille même peut-être à deux pas de mon espace de coworking.
Trois bonnes raisons de développer un réseau
Vous reconnaissez-vous dans l’une de ces situations ?
Cas n° 1. Les propositions affluent et, à regret, vous devez en décliner certaines. Une fois vos projets finalisés, rien ne se profile – au même moment, une éditrice ou un éditeur free-lance en refuse.
Cas n° 2. La maison dont vous rêvez vous propose un projet qui ne correspond pas à vos compétences. Vous devez renoncer. Vous savez qu’on ne vous rappellera pas, y compris pour le projet dont vous seriez l’éditrice ou l’éditeur idéal.e.
Cas n° 3. Une maison d’édition vous appelle, vous ne pouvez prendre le projet du fait d’un planning saturé. « Connaîtriez-vous quelqu’un ? » Vous n’avez pas de nom en tête.
Un réseau pour travailler mieux et plus régulièrement
Se connaître, c’est pouvoir se répartir la charge et la nature des projets éditoriaux. C’est aussi pouvoir développer nos compétences, améliorer nos outils de travail, nous conseiller.
En 15 ans, j’ai édité des ouvrages de toutes natures, travaillé avec une grande diversité d’équipes et mis au point de nombreux outils de suivi éditorial.
J’ai aussi développé un réseau d’éditrices, éditeurs, illustratrices, illustrateurs, graphistes et maquettistes, développeurs web, mais aussi photographes, traducteurs, vidéastes…
Cette expérience peut être utile à quelqu’un, tout comme la vôtre peut me l’être un jour. Parlons-en !